12 Juin 2011
Pour ma part c'est une plante que j'aime beaucoup pour son côté mystique. Sa présence sur les ormes et les chênes est exceptionnelle, d’où l’importance que les druides accordaient au gui récolté sur les chênes. Les druides le considéraient comme une plante sacrée. Le sicième jour de la lune de décembre, au moment du solstice d'hiver, ils partaient en procession pour couper le gui avec leur serpe d'or.
Les Gaulois attribuaient à cette plante le pouvoir de donner la force et l'invincibilité, de préservver de la fièvre et de servir d'antidote.
Maintenant on va en apprendre un peu plus sur le Gui.
Son nom vient d'un mot latin Viscum qui signifie le mot "visqueux", étant donné que les baies de gui contiennent une substance collante.
Le gui est une plante parasite qui aime principalement les feuillus : pommier, peuplers, bouleaux, noyers, ... Ou les sapins et autres connifères.
La floraison a lieu de mars à mai.
Depuis des siècles, le gui symbolise l'immortalité et la réfénération. Il remplit aussi le rôle de porte-bonheur.
Ces vertus thérapeutiques:
Les baies blanchâtre sont tocique pour l'homme.
Mais les feuilles et les jeunes rameaux sont riches en principes actifs, dont deux saponines qui produisent une action antispasmodique, diurétique, hupotensive, antitumorale et vasodilatatrice.
Il traiterait aussi l'épilepsie suivant des ouvrages médicaux du XVIIe et XVIIIe siècle.
Dans la médecine populaire, on la préconisait pour le traitement des catarrhes, de l'arthrite, des dysménotthées, de l'artériosclérose, dse vertiges, ...